Chaque année, tout musulman du Maroc acquiert un mouton vivant, avant de le faire tuer chez lui et d'en manger les morceaux en famille. Cette tradition, très ancrée, commémore le sacrifice d'Abraham et marque la fin du pèlerinage de La Mecque.
C'est l'Aïd-el-Kébir, la plus grande fête de l'année au Maroc, qui avait lieu cette fois-ci le 21 décembre.
Ce deuxième samedi de décembre, le marché aux dromadaires de Guelmim était donc tout autant sinon davantage celui aux moutons. Ainsi qu'en témoignent la photo ci-dessus, une foule bigarrée d'éleveurs de la région y avaient convergé. Et ça négociait dur !
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