A Ouled Alioua, j'ai surtout la nature pour voisine, et parfois à perte de vue... Je vous rassure toutefois : j'ai aussi des voisins humains !
C'est le cas, au nord, direction Atlas, de ces maisons en pisé assez lointaines. Leurs habitants font parfois paître leurs chèvres sur le chemin adjacent. Apparemment, ces braves bêtes ne détestent pas les figuiers de Barbarie... J'aime ce tableau bucolique et agreste.
Au sud, mon voisin est un respectable Marocain, nommé Mohammed, dont les cultures souffrent du manque récurrent d'eau, et qui élève quelques animaux : vache, poulettes, lapins...
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