L'acte d'acquisition du terrain Bhira d'Ouled Alioua avait été signé au mois d'août 2007. Mais il restait à obtenir l'inscription du changement de propriété à l'administration ducadastre de Taroudant.
Cette opération était en effet nécessaire afin que les héritiers puissent toucher l'argent que j'avais versé début août, auprès du notaire d'Agadir que j'avais sollicité, sans le connaître, sur la base d'une liste diffusée sur Internet, Omar El Kazraji, dont les bureaux se trouvent dans l'immeuble Oumlil (photo), à l'avenue Hassan II, à Agadir.
Ce pourrait être ici l'occasion d'une petite démonstration sur l'utilité des "petites motivations" à remettre sous enveloppe à certains fonctionnaires. J'y renonce, pour l'instant.
La différence entre les braves Marocains et certains hauts fonctionnaires
Disons simplement que si j'accepte volontiers de donner quelques billets à de braves Marocains qui flirtent avec le seuil de pauvreté (pour utiliser un euphémisme), je trouve tout à fait inacceptable de devoir graisser la patte à de hauts fonctionnaires du niveau d'une province, qui touchent de confortables salaires, ce qui ne les empêche pas de vous recevoir avec une morgue qui n'a d'égale que le mépris qu'ils vous inspirent.
Bref, nous sommes finalement parvenus à nos fins, avec le concours de mon amie Latifa (Un riad les yeux fermés) durant la première quinzaine de décembre 2007. Ouf ! Désormais, j'attends le permis de construire que devrait m'attribuer la commune rurale de Sidi Boumoussa. Inch'Allah !
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